Le psychologue fait reconnaître les droits fondamentaux du sujet humain dans sa dimension psychique, conformément à un code de déontologie spécifique.
La confidentialité couvre tout ce qui vient à sa connaissance dans l’exercice de sa fonction, pendant la thérapie et bien au-delà.
Le psychanalyste y ajoute une dimension de singularité absolue en fondant son éthique sur l’encouragement à « ne pas céder sur son désir » (Lacan).